Pour rester dans le domaine de l’eau et du changement climatique avec ses aléas, nuisibles et désagréables, et en parlant d’agriculture, il y a celle —dont on ne parle pas beaucoup— qui n’a pas besoin de beaucoup d’eau et qui, paradoxalement, plus il y a de la chaleur, plus elle se développe. Il s’agit de la culture du coton qui, à notre connaissance, n’est pas très développée chez nous ou même pas du tout. Voilà un bon créneau qu’il faudrait exploiter, d’autant plus qu’on a de nombreuses unités de tissage. Et même s’il n’y en a pas, on pourrait en créer puisqu’il y aura la matière première à portée de main. Ce qui ferait une économie de devises et la création d’emplois.